Amanda Hocking l’a fait !
Amanda Hocking est une romancière américaine de 35 ans très populaire auprès des adolescents du monde entier.
Devenue millionnaire en vendant des eBooks entre 2010 et 2012, son parcours fait rêver des centaines d’auteurs 2.0. La jeune femme détiendrait-elle la clé du succès de l’écriture sur le web ?
Qui est-elle ? Quels sont ses ouvrages les plus populaires ?
Retour sur la success story inattendue d’Amanda Hocking.
Disclaimer : Cet article contient des liens d’affiliation. En tant que Partenaire Amazon, je réalise un bénéfice sur les achats remplissant les conditions requises.
Un parcours littéraire semé d’embûches
Une thérapie par l’écriture pour lutter contre la dépression
Amanda fut victime de dépression durant son enfance et son adolescence. C’est donc dans la lecture et l’écriture que la jeune fille décida d’exorciser ses démons.
À seulement 17 ans, elle écrit son premier roman, « Dreams I can’t remember », qui ne sera jamais publié.
Par la suite, elle écrit un ouvrage intitulé « De mon sang », qui fut rejeté par les maisons d’édition traditionnelles.
Déterminée, elle ne s’arrêta pas là et décida de s’auto-publier sur Amazon. Au mois de mars 2010, « My blood approves » est diffusé sur la platefome de vente en ligne.
Le pari fou ? Gagner un peu d’argent sur internet
Cette idée, elle la tient selon certains de la célèbre Élisa Lorello, auteure de Faking It.
D’autres rapportent que la jeune romancière, usée par les retours négatifs à propos de ses textes, avait décidé de partir quelques temps dans une autre ville. Par nécessité fiancière, elle diffusa alors quelques manuscrits rejetés par les agences littéraires sur des plateformes de vente en ligne.
Le succès sera finalement au rendez-vous. En mars 2011, elle signe avec la maison d’édition St Martin’s press. En à peine 20 mois, elle aurait ainsi gagné 2 millions de dollars.
Depuis, son écriture est devenue plus affirmée et elle semble s’épanouir dans un sous-genre littéraire très apprécié par le jeune public.
L’urban fantasy à la Hocking : Le secret du succès ?
Un sous-genre littéraire rentable
La fantasy urbaine associe des créatures surnaturelles à l’histoire millénaire à un environnement urbain et moderne.
Cet univers fantastique se prête particulièrement bien aux réadaptations cinématographiques.
À ce titre, les films de la saga Twilight auraient généré au total 3 335,7 millions de dollars d’après le site cine-directors.net.
Amanda Hocking, quant à elle, écrit généralement de la « Bit Lit », une variante de l’urban fantasy.
Un style de prédilection : La « Bit Lit »
Ce sous-genre littéraire apparu dans les années 2000 est à la rencontre de la « Chicks Lit » ( littérature pour adolescentes ) et de la fantasy urbaine.
Dans ce monde presque gothique, les vampires d’Amanda côtoient les humains et d’autres créatures magiques. Ils vivent ensemble des romances qui ponctuent les passages sanglants caractéristiques de cette thématique.
Le 17 janvier 2018, elle publie Ultime, suite de la saga à succès « De mon sang ».
Attention : La « Bit Lit » est souvent confondue avec un autre sous-genre nommé « romance paranormale ».
•••
Connaissiez-vous ce sous-genre littéraire ? Dites-le nous en laissant un commentaire.
Vous aimez la littérature digitale ? Laissez-vous donc séduire par la e-librairie de notre partenaire Planète Book.
À bientôt sur le blog.
13 Responses
Publier des e-books ! article très intêressant et pourquoi pas s’y mettre. Merci
Bientôt 😀 !
Merci pour cet article très intéressant !
Mais de rien ! À bientôt 🙂
Je crois qu’il est possible de générer des gains sur internet avec un simple blog. Si les sujets intéressent ou que les histoires touchent les gens alors tout est possible. J’ai un blog, je partage les sujets du moment qui me tiennent le plus à coeur et je tente d’évoluer. Merci pour ce petit clin d’oeil en fin d’article. A bientôt,
Stéphane
Auteur et administrateur du blog : https://planetebook.fr
Merci à vous 🙂 !
Merci pour cet article super intéressant et encourageant….ça donne envie de s’y mettre aussi…
Amitiés
Manouchka
Merci à vous ! On vous tous finir par s’y mettre 🙂
Oh c’est le début de la gloire !!! 🙂
N’hésitez pas à nous contacter pour un service presse.
À bientôt sur le blog. <3
Késako un service presse ? J’ai acheté un pack chez un éditeur en ligne mais je ne fais pas de promo (je sais pas) et puis c’est un ‘trigenre’ alors pour caser ça…
Bon, je suis votre blog, je pense que ça ne peut me faire que le plus grand bien (sourires).
Le service presse consiste à ce qu’une maison d’édition ou un-e auteur-e envoie un ouvrage à un-e journaliste ou blogueur-se dans le but de rédiger un article sur sa plateforme (journaux, blogs, réseaux sociaux, plateformes spécialisée…) contre un format papier ou une petite rémunération.
Au plaisir de vous renseigner. 🙂
Intéressant. Bah, je peux déjà vous indiquer o* se trouve ma prose et puis vous voyez si ça vous semble jouable et on voit ensemble le process, qu’en pensez-vous ?
Avec plaisir.
Vous pouvez nous envoyer un extrait et vos réseaux sociaux par ici :
admin@lapetiteredac.com