La petite rédac

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Le ikigai : Une méthode japonaise pour être heureux au travail

L’Ikigai est un guide pour trouver une vie qui allie satisfaction personnelle, utilité sociale et bien-être financier.

À ce titre, à Okinawa, préfecture rurale japonaise, le nombre de centenaires est trois fois supérieur au reste de la population mondiale.

Les scientifiques ont regroupé 4 raisons pour expliquer cette longévité exceptionnelle :

  • Manger sainement
  • Ne pas fumer
  • Avoir une activité physique régulière
  • Aimer sa vie, le ikigaï

Le ikigaï permet notamment aux travailleurs de valoriser leurs compétences afin d’être plus heureux au travail.  

Mais comment donner un sens à sa vie professionnelle ?

Aujourd’hui la petite rédac’ vous aide à trouver votre ikigaï avec un schéma rapide à reproduire et à personnaliser à la maison. 

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le ikigai - LPR
Le Ikigai est un concept japonais qui représente la raison d’être ou le sens de la vie. Littéralement, « iki » signifie « vie » et « gai » signifie « valeur » ou « raison », ce qui donne « la raison de vivre ».

L’Ikigai se trouve à l’intersection de ces quatre domaines. C’est le point où vos passions, vos compétences, les besoins de la société et votre rémunération se rencontrent.

Il s’agit de la recherche d’un équilibre entre quatre éléments essentiels :

  1. Ce que vous aimez (votre passion) : Ce qui vous fait vibrer, ce qui vous enthousiasme naturellement.
  2. Ce en quoi vous êtes bon (votre vocation) : Les compétences et talents que vous avez développés et dans lesquels vous excellez.
  3. Ce dont le monde a besoin (votre mission) : Les besoins et défis de la société ou du monde auxquels vous pouvez répondre.
  4. Ce pour quoi vous pouvez être payé (votre profession) : Ce qui peut vous permettre de générer des revenus tout en faisant ce que vous aimez.

Lorsque vous atteignez votre Ikigai, vous ressentez un profond sentiment de satisfaction, de motivation et de contribution à la société. Ce concept est souvent associé à une vie épanouie, plus consciente et pleine de sens.

•••

Connaissiez-vous cette technique de développement personnel ? Vous a-t-elle déjà aidé au travail ?

Apprenez en plus en lisant Trouver son Ikigaï de Marion Koen en découvrant Audible gratuitement juste ici

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13 Responses

  1. Cela fait environ un an que j’ai découvert l’Ikigai et cette méthode japonaise de mettre en phase différents aspects de sa vie a capté mon attention. Je ne suis pas particulièrement bonne cliente des méthodes de développement personnel qui fleurissent sur les étagères des librairies. Mais l’Ikigai, qui est certes pas aussi simple qu’il y parait à mettre en œuvre, parle de nos ressources intérieures avec une logique implacable, simple et au final pleine de bon sens. Bon, il faut du temps pour maîtriser, mais cela en vaut la peine 🙂

  2. Personnellement, j’ai arrêté de fumer du jour au lendemain, ainsi que boire de l’alcool, j’ai cessé tout de suite après l’arrêt du tabac depuis un an . À présent , je suis en pleine forme et dors comme un charme . C’est surtout une question de volonté. 👍😊👍

  3. Bonjour,

    J’ai utilisé le ikigai mais pas seulement pour ma vie professionnelle; c’est une bonne méthode pour se recentrer, se connaître soi-même. En plus ça ne prend que cinq minutes.

    Je vais cependant en refaire un suite à votre article, pour voir si j’ai d’autres vocations en stock.

    Merci 😉

    AIT-SALEM Massiva

  4. Être « heureux », c’est nécessairement Être Libre,; et de fait hors de toutes formes de subordination et d’esclavage (étymologie du mot même de « travail » qui signifie joug, servitude, etc.) faut-il le rappeler!

    1. Le travail peut également être un tremplin vers le bonheur dans nos sociétés contemporaines (lutte contre la marginalisation et l’isolement, contre la dépendance économique entre autre.).

      L’étymologie du terme travail se rapporte en fait aux temps antiques durant lesquels il était considéré comme une tâche de « pauvres gens de la Plèbe et d’esclaves », les patriciens ne travaillant pas encore.

      1. Oui, c’est effectivement la vraie servitude que ce contrat dont la contrepartie est l’illusoire bonheur, on est bien d’accord.
        L’étymologie dont je parle est lexicale, celle dont l’origine du mot est la « torture » dérivée du mot « le joug », cet outil qui est utilisé pour faire se courber l’animal par force pour le contraindre à exécuter la tâche.
        Il convient de faire l’objet de conditionnements efficaces pour vivre le travail comme une Liberté, en ce sens l’école, l’Université, la famille sont des outils extrêmement pertinents,

        1. Le véritable but de l’article n’est pas de dire TRAVAIL = BONHEUR.

          Mais plutôt qu’avec certaines techniques et astuces (dont celle du ikigai) on peut redonner du sens aux tâches quotidiennes et y reprendre goût.

          Ceci dit, parler de servitude est un autre domaine. En Guadeloupe (oui nous venons de ce petit paradis), nous avons connu les coups de fouet non-rémunérés pour un travail véritablement « laborieux » avant la deuxième abolition de l’esclavage.

          En outre, en France, durant la période révolutionnaire, le Tiers État, soit 98% de la population, souhaita abolir les privilèges (dont celui de ne pas travailler pour l’aristocratie) pour une égalité réelle vis-à-vis du bien commun.

          Donc une fois de plus, oui le travail est un tremplin vers le bonheur car il permet de mettre à l’abris sa famille et parfois même ses amis, sans être dépendant d’eux ni de l’état.

          Mais le travail à proprement parler, n’est pas et n’a jamais été synonyme de bonheur.
          Et aujourd’hui il n’a pas non plus la même force contraignante qu’autrefois ( preuve en est, certains vivent d’allocations sans jamais travailler ou presque, sont-ils heureux pour autant ? ).

          Il convient donc de nouancer cette interprétation.

  5. Ouil, il est important de nuancer, car on peut voir une chose de différentes façons, preuve en est!

    Ce que vous apportez en complément illustre très bien les usages faits du travail et son évolution, de la pire des manières effectives sur un plan physique comme son appropriation pour sa transformation. L’abolition de l’esclavage autant que la révolution n’ont fait qu’être des étapes dans le sens d’une massification du travail de ce fait de l’esclavage à l’émergence de nouvelles pratiques collectives. On sait à qui a profité la révolution et par qui elle a été conduite.

    citation célèbre l’illustre mieux que ce que je pourrais jamais le faire:
    « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude … ».

    On en est exactement là, du fait de l’évolution de l’organisation sociale et humaine de par le fait des sociétés occidentales basées sur la culpabilité, l’Espoir et la croyance en Dieu.

    Les japonais, associés aux anglo-saxons américains ont eu l’art de disséquer les Mille manières d’exploiter les potentiels productifs du travail en l’associant à une sorte/forme d’idéal et d’absolu avec par exemple le Taylorisme et le Kaizen avec la célèbres processus « qualité ». Dans ces processus, les membres d’un groupe sont associés au maximum pour leur participation, au nom du fallacieux bien-être collectif et individuel.

    Les militaires et les états ont toujours été fortement associés à ces travaux et surtout, surtout à leurs applications toujours dans le même esprits de l’esclavage des origines ayant pour seule finalité l’exploitation optimale du bonheur, de l’espoir et des croyances.

    Voilà pourquoi il apparaît que beaucoup de ces mots valises;: bonheur, travail, espoir, croire, ont leurs corollaires des contenus riches de sens à manier avec précautions.

    Je tiens tout particulièrement à vous remercier pour cet échange et pour votre compréhension de « ma »lecture.

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